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Pourvu qu'il soit heureux


Une comédie pas si légère sur l’homophobie, portée par des comédiens de haut vol. Pas mal malgré quelques maladresses...




Le pitch ?

Claudine et Maxime, en vacances à la plage, découvrent en couverture d’un magazine people que leur fils, Camille, est homosexuel. Leur réaction n’est pas forcément à la hauteur des espérances de Camille…


Et "Pourvu qu'il soit heureux", ça donne quoi ?

Sympa !

Noir. Le rideau se lève sur un joli décor de chambre d’hôtel. Ni une ni deux, les comédiens entrent en scène et le sujet de la pièce est lancé. Dès les premières répliques, les rires fusent dans la salle : il faut dire que les comédiens sont excellents et les dialogues enlevés ! Certes, c'est pas toujours très fin, mais on rit quand même de bon cœur. Dommage que le sujet tourne vite en rond : au bout d’1h30, forcément, les vannes s’épuisent…

Plus qu’une comédie, « Pourvu qu’il soit heureux » traite d’un sujet sérieux : l’homophobie. Bémol malgré tout : la pièce se veut (un peu trop) moralisatrice, et la fin n’est pas à la hauteur…


Pour qui ?

Pour tous ceux qui veulent rire un bon coup, sur fond de sujet d’actualité.


Le petit + ?

La première scène, revue sous un autre angle. Déconcertant mais amusant !


Et "Pourvu qu'il soit heureux", ça joue où ?

Théâtre Antoine, Paris

Du mardi au dimanche, jusqu’au 31 décembre 2018

Une pièce de Laurent Ruquier

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